En bon brocanteur-producteur, Gilles Peterson s’est entiché de Diggs Duke en l’invitant sur une de ses compils fourre-tout.
Diggs est un pur joyau néo-vintage. Sa voix illuminera les esprits les plus sombres.
Que l’on loue Saint Gilles ou pas, là n’est pas le propos. Celui-ci a le mérite de dénicher des talents et de faire vivre les artistes. Merci donc pour avoir sorti Diggs Duke du placard.
Une fois pénétré dans l’univers jazz-nu soul-hip hop du Duke, c’est l’histoire de la musique noire américaine qui vous saute aux oreilles : mélodie, feeling, groove.
2 albums , quelques EP’s, de très belles collaborations, des remixes, la carrière de Diggs ne fait finalement que commencer et c’est là la vraie bonne nouvelle.
Son site internet est très bien réalisé et riche
Je dois vous quitter, j’ai un verre de Pinot Grigio qui m’attend. Le vin est bien frais, l’ampli est bien chaud…comme la musique de Diggs.
suivi de
classe et savoureux