Je demandais il y a quelques semaines à mon disquaire préféré Urban Music s’il connaissait Loyle Carner, un jeune rappeur londonien.
Le diable me sort illico une note-mémo qu’il avait prise sur son mobile : Loyle Carner, me signifiant qu’il avait repéré le gars en question et qu’il allait en principe faire rentrer le disque sous peu. On ne la lui fait pas à l’envers.
Avec son sourire de margoulin et son humour très René Château Vidéo, notre disquaire préféré me sort des pépites funk 70’s et : « Toi, tu m’aimes pas parce que je suis noir ! » Mdr.
Entre parenthèses, celui-ci ressemble plus à Lino Ventura qu’à Usain Bolt. Mais dans le contexte, sa phrase et son sourire de filou resteront à jamais dans ma mémoire.
Du coup nous enchaînons sur Loyle Carner et tombons d’accord. Ce jeune gars est prometteur.
Son rap est acéré, son flow percussif et son accent, disons, londonien !
J’aime énormément la gouaille de Loyle Carner.
Pas évident d’exister quand le Rap US vampirise tout de même pas mal le genre.
Loyle est bien parti avec son premier album Yesterday’s Gone.
Coup de coeur depuis quelques semaines.
Cheers Luv !
de la bombe