CES ALBUMS DONT Je n’ai pas parlé
Je n’étais ni malade, ni décédé, ni aux putes, je n’ai pas beaucoup écouté de nouveaux trucs, donc je l’ai fermé et je suis allé au ciné. Puis je me suis remis au boulot, le casque sur les oreilles.
Fin d’année oblige, c’est désormais une tradition, on se rattrape et on prépare nos listes en forme de dépôt de bilan, et on s’aperçoit qu on a oublié de parler de plusieurs albums. Ce sera par tranches de Huit.
A qui La faute ? Au cinéma, aux concerts, au vin rouge, aux albums que on se repasse et qu on ressasse, sors de ta zone de confort.
Séance de rattrapage VOL. 2
FRED PALLEM ET LE SACRE DU TYMPAN
Shame on me, cette « Odyssée », toute johnbarryesque, avait bien évidemment sa place dans le bilan de cette belle année 2018, généreux, puissant, barbu, c’est la force de Fred Pallem, je me délasse dans le groove
MELISSA LAVEAUX
Elle fait de la musique comme nulle autre, cet album « Radio sywel » est une drôle d’alchimie, parfois bancale, entre lollypops, vaudou et Haiti. I’ve been riding horses et mon esprit bât la campagne :
SAINT VINCENT
Aussi barrée que créative, Saint Vincent est une artiste complète qui arrive encore à me surprendre à chaque sortie et c’est le cas avec l’album « MassEducation » Piano Version, j’adore vraiment ce son
JIMI TENOR
Le finlandais a définitivement pris le chemin du ciel, façon Leaving Las Vegas Parano, c’est planant et bien chiadé, chapeau pour cet « Order of Nothingness », énorme ce truc
JAMIE SAFT
Vous savez combien je vénère ce barbu, Jamie Saft, chaque année il me comble, carton plein avec « Blue Dream », attention c’est le grand huit émotionnel, la fièvre dans les doigts
JERRY PAPER
j’abuse du slow groove à longueur d’année, alors terminons l’année avec un nouveau fer de lance du genre, Jerry Paper qui se la joue « Like a Baby »
LOGIC
De facture classique « YSIV » reste une parfaite pépite à mettre sous le sapin ou sous la dent, selon vos ambitions, Young Sinatra a frappé 4 fois, Life’s a bitch, hommages, hommages
MARCUS KING BAND
L’ogre est de retour, Cadillac rutilante, cheveux dans le vent et dans la bouche, « Homesick » confirme sa part des anges. Pour l’instant, ils sont bloqués dans le van