Notre invité aujourd’hui est beaucoup plus underground que notre tête de lard Kevin (Bacon) du #1. Moins hollywoodien, moins people à priori.
Vincent Gallo a pour lui une tronche qui lui a filé un boulot bien payé. Tout le monde aimerait en dire autant mais 99,999 % des mortels maudissent leurs aïeuls de les avoir affublés d’un look à chier face à la question du miroir. J’en fais parti.
L’énigmatique Vincent rêve depuis le berceau d’être une rock star. Le constat est édifiant de réalisme : on ne peut pas être excellent partout.
Si en art dramatique le beau Gallo est très à l’aise et pertinent, tout juste pourra-t-on lui mettre la moyenne en musique. Honnête mais pas bouleversant comme il sait l’être à l’écran. Warp Records l’a pourtant hébergé l’espace de 2 albums.
Il est important d’ajouter que notre cumulard #2 est aussi écrivain et réalisateur (films, court-métrages, clips).
Ceci pour excuser un artiste apprécié ne serait-ce que pour sa démarche globale et pour rappeler que, même si t’es un cumulard, tes journées feront toujours 24 h.
https://www.youtube.com/watch?v=_bkAQnnklo8
un touche à tout et doué, c’est plutôt rare, il aurait pu aussi figurer dans la rubrique têtes à claques 🙂
suis obligé de me censurer sur la tête à claques…je ne voudrais pas nous attirer des ennuis…sinon oui Vincent avec son air de Sainte-n’y-Touche se la raconte quand même bien à dragouiller du mannequin et plus si affinités…quand même…